La crypto-industrie promet l’anonymat dans le secteur financier

La crypto-industrie promet l’anonymat dans le secteur financier

Actualités
16 avril 2020 par Antoine

Si les questions de la protection de la vie privée demeurent un grand problème irrésolu dans le secteur financier, Brian Armstrong, le PDG de Coinbase, soutient que certains projets de crypto-monnaies sauront changer cette image peu concluante.

Les actifs axés sur la confidentialité

Alors que les décideurs politiques américains montrent une certaine aversion vis-à-vis de l’anonymat dans la finance, Brian Armstrong, un acteur majeur dans l’industrie des crypto-monnaies, pense qu’il est plus que nécessaire de préserver les informations personnelles des clients à l’abri des éventuelles malversations. Et les crypto-monnaies se présentent comme étant les actifs les mieux placés pour résoudre ce problème.

Selon Armstrong, les monnaies numériques révolutionneront le système financier actuel grâce à l’instantanéité de ses transferts à travers le monde, et ce, à moindre coût. Et surtout, la confidentialité des transactions est gardée secrète pour les consommateurs.

Le personnage a particulièrement mis en exergue le caractère confidentiel de certains actifs tels que Zcash (ZEC) et Monero (XMR) dans le traitement des transactions, d’où la sollicitation de ces types d’actifs pour la création d’un système financier décentralisé.

D’autres projets avec de grands potentiels

Outre les monnaies numériques axées sur la confidentialité, le leader de Coinbase a également rajouté qu’un bon nombre de développements plus récents dans l’écosystème des crypto-monnaies promettent de porter la confidentialité des informations à un niveau encore plus élevé.

A titre d’illustration, on peut citer la crypto-monnaie native de JPMorgan, qui ambitionne de mettre en place une plateforme dédiée aux transactions privées via son projet Blockchain baptisé Quorum.

Expliquant cette innovation, Armstrong a souligné :

« Ce changement est un peu comme lorsque les sites Web sont passés de HTTP à HTTPS en tant que norme mondiale: il permet aux consommateurs de savoir que leurs informations sont protégées par défaut. »

Que pensez-vous de ces affirmations de Brian Armstrong ? Faites-nous part de votre avis dans la section commentaire ci-dessous.

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